Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.



INSTANT CINOCHE • FANBOYS de Kyle Newman (2009).

Fanboys 2009









Fanboys est une comédie réalisée par Kyle Newman en 2009. Le scénario a été écrit par Ernest Cline, qui a écrit un de mes livres préféré, Ready Player One, et Adam F. Goldberg. Fanboys se passe en 1998 et raconte les péripéties de quatre mecs, Eric, Linus, Hutch et Windows, des geeks qui sont très fan de Star Wars. Alors qu'Eric et Linus, anciens meilleurs amis, s'étaient perdu de vu, tous partent à l'aventure en direction du Lucas Ranch pour pouvoir voler et visionner une pré-version de Star Wars, Episode I: La Menace Fantôme pour permettre à Linus, atteint d'un cancer, de le voir avant de mourir.

Etant fan de Star Wars - bon, pas autant que les personnages du film - je pense qu'il était évidemment que j'allais apprécier ce film. Les personnages sont le cliché même du geek mais ce n'est pas gênant dans ce genre de film. Les acteurs - Sam Huntington, Jay Baruchel, Chris Marquette et Dan Fogler - sont carrément bons dans leurs rôles, comme si au fond, cela faisait partie de leurs propres personnalités. Le petit plus coté personnage, c'est celui de Zoe, interprétée par la fabuleuse Kristen Bell (que j'adore pour son rôle de Veronica Mars). Un personnage plutôt atypique dans le sens où elle casse le cliché en incarnant une fille geek, sûre d'elle et qui n'a pas peur de se salir les mains. 

L'histoire en elle-même et les péripéties ne cassent pas trois pattes à un canard mais les situations sont drôles et on s'attache à ces personnages marginaux qui vivent à fond leur passion. Pour ma part, le personnage d'Eric est celui que j'ai le plus apprécié - avec celui de Windows, interprété par Jay Baruchel - car il y a une sorte de lutte en lui, entre sa vrai nature, celle d'un geek qui adore traîner avec ses potes et entre celle du mec qui oublie ce qu'il est pour faire plaisir à papa et suivre le chemin qu'on a plus ou mois tracé pour lui, on sent une réelle peur de "grandir".  Mais sinon, c'est vraiment un film qui pour seul but de faire rire et de faire plaisir aux geeks cinéphiles grâce aux nombreuses références et clin d’œils aux univers de Star Wars, Star Trek, Retour vers le Futur, etc.

Ce film m'a énormément fait penser à Detroit Rock City, sorti dix ans plus tôt et qui d'ailleurs avait aussi comme acteur dans un rôle principal Sam Huntington, qui dans Fanboys interprète Eric. Effectivement, les deux films racontent l'histoire d'une bande de potes qui entreprennent une sorte de voyage initiatique, pour atteindre un but précis: dans Fanboys, c'est de pouvoir regarder Star Wars Episode I en avance et dans Detroit Rock City, c'est d'obtenir  tout prix des billets pour assister au concert de Kiss à Detroit. C'est aussi dans la même veine, bien que different aussi, de Stand by Me car les personnages, à la fin du film, ressortent grandis de leur aventure. Pour conclure, Fanboys est un bon film de divertissement à regarder un soir entre potes.






Sur mon blog, je parle la plupart du temps de pop culture à travers les films des eighties et des nineties que je vous présente mais de nombreux livres, écrit sous forme d'essais en général, ont pour sujets la culture populaire même. Alors que je vagabondais sur Amazon à la recherche de ce type de lectures, je suis tombé sur ces petites merveilles qui me tarde de commander. Je trouvais donc ça intéressant de vous parler de ces livres qui, à coup sûr pour deux d'entre eux, auront droit à une review/analyse sur le blog.


Bouquins et Pop Culture.




Sur mon blog, je parle la plupart du temps de pop culture à travers les films des eighties et des nineties que je vous présente mais de nombreux livres, écrit sous forme d'essais en général, ont pour sujets la culture populaire même. Alors que je vagabondais sur Amazon à la recherche de ce type de lectures, je suis tombé sur ces petites merveilles qui me tarde de commander. Je trouvais donc ça intéressant de vous parler de ces livres qui, à coup sûr pour deux d'entre eux, auront droit à une review/analyse sur le blog.










Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut de la tour du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la «bête curieuse» de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases «d'éveil» où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais, neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissé submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir - quatrième de couverture de l'édition française Tous nos jours parfaits publiée chez Gallimard Jeunesse.

J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce livre. Le roman aborde des thèmes très sérieux - qui peuvent toucher une audience large - tels que la mort, le deuil, le suicide etc. Des thèmes sérieux qui, je trouve, sont très bien traités - pas de façon maladroite comme on peut le trouver dans une minorité de romans YA. Les personnages de Finch et Violet se posent des questions qu'adolescents pourraient actuellement vraiment se poser, ajoutant une touche très réaliste au roman, cassant les clichés qu'on colle parfois aux ados.

Violet, d'apparence, est une jeune femme populaire, pourtant, depuis que sa sœur aînée, Eleanor, est morte d'un accident de voiture, elle n'est plus la même, on peut même dire qu'une part d'elle-même est morte avec sa soeur. Elle a perdu le gout de vivre et ne sait plus vraiment comment vivre. Finch, quand à lui, ne pense qu'à une chose et c'est de s’ôter la vie. C'est un personnage très complexe et la manière dont il est décrit et montré dans le roman, on comprend très vite qu'il y quelque chose qui ne va pas chez lui. Ahh, Finch, je ne me suis jamais autant senti proche d'un personnage de roman. Je me suis tellement retrouvée en lui, ou du moins, une partie de moi quand j'étais plus jeune. D'ailleurs, il y a une citation du livre prononcée par Finch qui m'a marqué, tellement j'aurais pu la prononcer moi même: “The thing I don’t say is: I want to stay alive. The reason I don’t say it is because, given that fat folder in front of him, he’d never believe it. And here’s something else he’d never believe - I’m fighting to be here in this shitty, messed-up world. Standing on the ledge of the bell tower isn’t about dying. It’s about having control. It’s about never going to sleep again.” – page 16. Malgré ses pensées assez sombres, j'aime sa façon de penser et sa façon d'être, c'est un personnage extrêmement bien développé par l'auteur.

On ne peut que s'attacher à ces personnages, ils ont chacun une forte et intéressante personnalité, un passé tourmenté, ce sont vraiment des personnages qui donnent une consistance au roman et qui donne envie de le lire. Il y a une réelle connexion entre Violet et Finch, je trouve leur relation simple et compliqué à la fois mais belle, chacun apporte du bonheur à l'autre, chacun change en quelque sorte la vie de l'autre. L'histoire en elle-même est très bien menée, j'aime le concept  de comment Finch essaye de redonner gout à la vie à Violet alors que lui-même ne pense pratiquement qu'a mourir, malgré le bonheur que Violet lui apporte. Ce n'est pas un conte de fée, c'est une histoire très intense qui ne peut que marquer le lecteur quand il finit la lecture du roman.

En conclusion, c'est un des meilleurs livres qui m'ait été donné de lire, le sujet m'a touché, les personnages sont beaux, l'histoire et les thèmes abordés sont très intenses et bouleversants, en somme, une très belle histoire poignante et émouvante.





BOOK REVIEW • All the Bright Places de Jennifer Niven.









Quand Violet et Finch se rencontrent, ils sont au bord du vide, en haut de la tour du lycée, décidés à en finir avec la vie. Finch est la «bête curieuse» de l'école. Il oscille entre les périodes d'accablement, dominées par des idées morbides et les phases «d'éveil» où il déborde d'énergie. De son côté, Violet avait tout pour elle. Mais, neuf mois plus tôt, sa sœur adorée est morte dans un accident de voiture. La survivante a perdu pied, s'est isolée et s'est laissé submerger par la culpabilité. Pour Violet et Finch, c'est le début d'une histoire d'amour bouleversante : l'histoire d'une fille qui réapprend à vivre avec un garçon qui veut mourir - quatrième de couverture de l'édition française Tous nos jours parfaits publiée chez Gallimard Jeunesse.

J'ai eu un énorme coup de cœur pour ce livre. Le roman aborde des thèmes très sérieux - qui peuvent toucher une audience large - tels que la mort, le deuil, le suicide etc. Des thèmes sérieux qui, je trouve, sont très bien traités - pas de façon maladroite comme on peut le trouver dans une minorité de romans YA. Les personnages de Finch et Violet se posent des questions qu'adolescents pourraient actuellement vraiment se poser, ajoutant une touche très réaliste au roman, cassant les clichés qu'on colle parfois aux ados.

Violet, d'apparence, est une jeune femme populaire, pourtant, depuis que sa sœur aînée, Eleanor, est morte d'un accident de voiture, elle n'est plus la même, on peut même dire qu'une part d'elle-même est morte avec sa soeur. Elle a perdu le gout de vivre et ne sait plus vraiment comment vivre. Finch, quand à lui, ne pense qu'à une chose et c'est de s’ôter la vie. C'est un personnage très complexe et la manière dont il est décrit et montré dans le roman, on comprend très vite qu'il y quelque chose qui ne va pas chez lui. Ahh, Finch, je ne me suis jamais autant senti proche d'un personnage de roman. Je me suis tellement retrouvée en lui, ou du moins, une partie de moi quand j'étais plus jeune. D'ailleurs, il y a une citation du livre prononcée par Finch qui m'a marqué, tellement j'aurais pu la prononcer moi même: “The thing I don’t say is: I want to stay alive. The reason I don’t say it is because, given that fat folder in front of him, he’d never believe it. And here’s something else he’d never believe - I’m fighting to be here in this shitty, messed-up world. Standing on the ledge of the bell tower isn’t about dying. It’s about having control. It’s about never going to sleep again.” – page 16. Malgré ses pensées assez sombres, j'aime sa façon de penser et sa façon d'être, c'est un personnage extrêmement bien développé par l'auteur.

On ne peut que s'attacher à ces personnages, ils ont chacun une forte et intéressante personnalité, un passé tourmenté, ce sont vraiment des personnages qui donnent une consistance au roman et qui donne envie de le lire. Il y a une réelle connexion entre Violet et Finch, je trouve leur relation simple et compliqué à la fois mais belle, chacun apporte du bonheur à l'autre, chacun change en quelque sorte la vie de l'autre. L'histoire en elle-même est très bien menée, j'aime le concept  de comment Finch essaye de redonner gout à la vie à Violet alors que lui-même ne pense pratiquement qu'a mourir, malgré le bonheur que Violet lui apporte. Ce n'est pas un conte de fée, c'est une histoire très intense qui ne peut que marquer le lecteur quand il finit la lecture du roman.

En conclusion, c'est un des meilleurs livres qui m'ait été donné de lire, le sujet m'a touché, les personnages sont beaux, l'histoire et les thèmes abordés sont très intenses et bouleversants, en somme, une très belle histoire poignante et émouvante.





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Dans cet article, on va parler de sites Internet mais pas n'importe lesquels. Des sites internet spécialisés dans le fabuleux et extraordinaire univers de la pop culture, je dis OUI et encore OUI. Etant une grande fan de pop culture, je me devais de vous parler de ces 3 sites, qui deviennent très vite addictif (mais, c'est une bonne addiction).



MES SITES FAVORIS - pop culture édition.

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